Balaives-et-Butz


- Code Postal : 08160
- Code Insee : 08042
- Habitants : Balaiviens, Balaiviennes
- A1titudes : 173 à 326 m
- Superficie : 1105 hectares
- Lien :
Ardenne Métropole
- Population :


Période dépouillée :

Aucun dépouillement n'a été réalisé à ce jour.

- AD et TD = Archives Départementales (pour les photos des actes, voir le site des Archives).

Précisions sur les registres :

- Pour Balaives :
- Les archives portent sur 1700-1828 avec des TD an XI-1822.
- Pour Balaives :
- Les archives portent sur 1690-1828 avec des TD an XI-1828.
- Pour Balaives-et-Butz :
- Les archives commencent en 1829 avec des TD 1823-1932.

Histoire et patrimoine :

- Au XIIe : Balaives « belles eaux » et Butz « buisson ».
- En 1641, le roi donnait à Philippe de Raincourt le village en récompense de ses bons services.
- Château de la Sault XIXe : tourelles, pierre tombale provenant de l'ancienne église.
- Durant l’Ancien Régime, la paroisse de Butz (Saint-Leu) était le secours de la cure de Villers-le-Tilleul.
- Butz, érigé en commune en 1792, fut réuni à Balaives par une ordonnance de 1828.
- Le 1er janvier 2019, la commune fusionne avec Boutancourt, Élan et Flize pour former la commune nouvelle de Flize.
- Eglise Saint-Pierre-aux-liens 1888, néo-romane, bâtie grâce aux libéralités du couple Borderel, les châtelains du château de Sault.
- Enclave de la commune de Singly (bois).

Activités anciennes :

- Industrie métallurgique légère ; tuilerie au XIXe ; Ets Wynex vers 1950 : quincaillerie, bricolage.

Personnage :

Jean Meslier (1664-1729), curé d'Étrépigny et de Balaives-et-Butz, connu par la publication de Voltaire intitulé « Mémoire des pensées et sentiments de Jean Meslier, prêtre-curé d'Etrépigny et de Balaives, sur une partie des erreurs et des abus de la conduite et du gouvernement des hommes, où l'on voit des démonstrations claires et évidentes de la vanité et de la fausseté de toutes les religions du monde, pour être adressé à ses paroissiens après sa mort et pour leur servir de témoignage de vérité à eux et à tous leurs semblables. ». Son neveu, le physicien Lefevre-Gineau (voir Authe), anobli « chevalier d'Ainelles » en 1808, fit exploiter le minerai de fer du bois d'Enelles.

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